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Le courtier votre tiers de confiance en toute indépendance

J'ai rencontré un ami au Salon du Courtage qui me disait :« En collective, une fois le contrat placé, c'est fini, non ? »


Eh bien… pas vraiment.


Conseiller un contrat collectif – et en particulier en santé internationale – ce n'est pas comme poser un cadre au mur et l’oublier.

C’est un travail continu, exigeant et discret, un peu comme celui des cabinets d’audit : un tiers de confiance avec des missions précises et des valeurs essentielles.



Pourquoi un courtier doit être un tiers de confiance ?


Parce qu’on ne peut pas être juge et partie.

Conseiller une entreprise et être rémunéré pour gérer le contrat soi-même, c’est ouvrir la porte aux conflits d’intérêts.

Quand il s’agit de la protection sociale des collaborateurs d’un grand groupe, la neutralité n’est pas une option. C’est une obligation.


Et le rôle du courtier, c’est aussi de protéger son client :

  • en sécurisant ses décisions,

  • en lui faisant gagner du temps dans des démarches complexes,

  • et en partageant la responsabilité sur des sujets sensibles et engageants.


Et puis il y a… tout le travail de fond pour apporter du conseil en permanence :

  • L’analyse des données RH

  • La compréhension des enjeux par pays et par population

  • L’analyse des contrats en place et de leur pertinence

  • L’étude des sinistres lourds

  • La conformité et l’adaptation aux évolutions réglementaires

  • La communication vers les salariés et la réponse à leurs interrogations

  • Le suivi régulier des indicateurs clés


Bref, ce n’est pas un sprint.C’est un marathon au service de l’entreprise et de ses salariés.


Un engagement moral et éthique (et légal) s’impose : le courtier doit…

Conseiller son client dans son intérêt exclusif

Négocier auprès des assureurs et mettre en concurrence les offres

Analyser les besoins réels de l’entreprise et des salariés

Choisir non seulement l’assureur, mais aussi le gestionnaire – car c’est lui qui, au quotidien, incarne le contrat auprès des salariés


Car un contrat bien négocié sur le papier ne vaut rien s’il n’est pas bien géré.


Le rôle du courtier, c’est de s’assurer que le gestionnaire – celui qui rembourse, répond aux questions, accompagne au quotidien – soit fiable, réactif et aligné avec la promesse donnée au client.


Et justement, cette période de renouvellement est un moment clé.


Le courtier doit revoir chaque contrat, vérifier son adaptation aux besoins, proposer des ajustements et accompagner le client dans cette phase souvent lourde et technique.


Expliquer.Clarifier.Anticiper.Rassurer.


Chez Munkam, cet engagement prend une forme concrète :

  • Un courtage indépendant, libéré de tout conflit d’intérêts.

  • Un courtage inclusif, qui pense à tous les profils – y compris ceux trop souvent oubliés, comme les femmes en mobilité internationale.

  • Un courtage proche, qui ne se contente pas de signer un contrat mais accompagne, compare, ajuste et soutient à chaque étape du parcours.


Alors oui, le courtier négocie, chiffre, met en concurrence.

Mais surtout, il protège son client, lui fait gagner un temps précieux et prend sa part de responsabilité dans les décisions.


Et peut-être qu’au fond, c’est ça le vrai métier de courtier – et l’ADN de Munkam : Donner confiance dans l’avenir, sans conflits d’intérêts, avec humanité et transparence.

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